Un 18 novembre à l'arboretum Stephen-Langevin

Un saule encore souple pour son âge

J'aime bien aller me promener sur le site de l'ancienne propriété des Langevin, sur le bord du fleuve à Boucherville. Même s'il ne reste rien de la luxueuse propriété et que le dessin du jardin d'autrefois est presque effacé, le lieu est encore habité et à l'ombre des arbres exotiques, dans les entrelacs de vignes vierges ou le long des remparts de thuyas, il n'est pas improbable de trouver une nyctale, un hibou moyen-duc ou même le grand-duc.

Aujourd'hui, nous n'en avons pas vu; ce qui ne signifie pas qu'ils n'étaient pas là. En revanche, comme chaque année à cette saison, il y avait beaucoup de merles d'Amérique, plusieurs dizaines. Les pommetiers et autres arbres fruitiers du site ne sont problablement pas étrangers à leur présence. 

Quand les vers et les insectes ont disparu, le merle redécouvre les fruits

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