Après la tempête...

Ce matin, en ouvrant la porte pour aller enlever les derniers restes de la tempête de neige, j'ai trouvé les traces d'un jeune lapin à queue blanche sur le pas de la porte. Je ne l'ai pas entendu frapper et il a du se contenter de la chaleur qui s'échappait par la porte. Et puis, au plus gros de la tempête, il est allé se réfugier sous l'auto. 

Ce n'est pas la première fois qu'il vient. Toutes les nuits, il vient vérifier que je n'ai pas oublié de fermer l'acccès au jardin. Tant qu'il restera de ce côté de la clôture, nous serons amis.

L'échelle est une botte d'hiver, taille 40 

Aux mangeoires, on rattrapait le temps perdu: sizerins flammés, chardonnerets jaunes, moineaux domestiques, roselins familiers, sittelle à poitrine blanche et pic mineur. Il ne manquait que les bruants hudsoniens, les juncos ardoisés et les cardinaux rouges, qui préfèrent manger ce que les autres laissent tomber.    

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