Un 6 mai dans le boisé du Tremblay

Qu'est ce que je retiens de ma ballade de ce matin ?
Un cardinal à poitrine rose que nous avions entendu hier et que j'ai pu photographier tant bien que mal aujourd'hui, la portée du regard qui diminue au fur et à mesure que la feuillaison progresse et aussi à quel point nos empreintes dans l'environnement peuvent être durables. 
Pour preuve ces ornières laissées par un tracteur, il y a peut-être 10 ou 15 ans, et qui ne se comblent pas malgré des années de feuilles mortes, de pluies, de gel et de neige. 





Aucun commentaire:

Publier un commentaire